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Auteurs | Barbey d'Aurevilly, Jules Amédée (Auteur) Mourier-Casile, Pascaline (Editeur Intel.) |
Edition | Pocket : Paris , 1999 |
Collection | Pocket classiques N°6136 |
Collation | 417 p.-XXXVII p. |
Illustration | couv. ill. en coul. |
Format | 18 cm |
ISBN | 2-266-08939-0 |
Langue d'édition | français |
Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0 | |
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Contient :
Le rideau cramoisi
Le Plus bel amour de don Juan
Le Bonheur dans le crime
Le Dessous de cartes d'une partie de whisy
A un diner d'athées
La Vengeance d'une femme
Résumé : Barbey d'Aurevilly Les Diaboliques Quant aux femmes de ces histoires, pourquoi ne seraient-elles pas les Diaboliques ? N'ont-elles pas assez de diabolisme en leur personne pour mériter ce doux nom ? Diaboliques ! il n'y en a pas une seule ici qui ne le soit à quelque degré. Comme le Diable, qui était un ange aussi, mais qui a culbuté, la tête en bas, le... reste en haut ! Pas une ici qui ne soit pure, vertueuse, innocente. Monstres même à part, elles présentent un effectif de bons sentiments et de moralité bien peu considérable. Elles pourraient donc s'appeler aussi les Diaboliques , sans l'avoir volé... On a voulu faire un petit musée de ces dames. L'art a deux lobes, comme le cerveau. La nature ressemble à ces femmes qui ont un oeil bleu et un oeil noir. Voici l'oeil noir dessiné à l'encre - à l'encre de la petite vertu. Barbey d'Aurevilly Plus qu'il ne se livre, Barbey se trahit. Toute son oeuvre romancière exhale l'odor di femmina ; on y découvre, foncièrement, l'obsession de la femme au point de croire qu'il s'en délivrait par le style. Jean de La Varende, Les Grands Normands. Introduction et notes de Pierre Glaudes.
Notes : Bibliogr. p. 411-413
Filmogr. p. 414
Le rideau cramoisi
Le Plus bel amour de don Juan
Le Bonheur dans le crime
Le Dessous de cartes d'une partie de whisy
A un diner d'athées
La Vengeance d'une femme
Résumé : Barbey d'Aurevilly Les Diaboliques Quant aux femmes de ces histoires, pourquoi ne seraient-elles pas les Diaboliques ? N'ont-elles pas assez de diabolisme en leur personne pour mériter ce doux nom ? Diaboliques ! il n'y en a pas une seule ici qui ne le soit à quelque degré. Comme le Diable, qui était un ange aussi, mais qui a culbuté, la tête en bas, le... reste en haut ! Pas une ici qui ne soit pure, vertueuse, innocente. Monstres même à part, elles présentent un effectif de bons sentiments et de moralité bien peu considérable. Elles pourraient donc s'appeler aussi les Diaboliques , sans l'avoir volé... On a voulu faire un petit musée de ces dames. L'art a deux lobes, comme le cerveau. La nature ressemble à ces femmes qui ont un oeil bleu et un oeil noir. Voici l'oeil noir dessiné à l'encre - à l'encre de la petite vertu. Barbey d'Aurevilly Plus qu'il ne se livre, Barbey se trahit. Toute son oeuvre romancière exhale l'odor di femmina ; on y découvre, foncièrement, l'obsession de la femme au point de croire qu'il s'en délivrait par le style. Jean de La Varende, Les Grands Normands. Introduction et notes de Pierre Glaudes.
Notes : Bibliogr. p. 411-413
Filmogr. p. 414
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